bonjour à tous

on fête les 

Combative et courageuse, Sandrine pousse très loin le dynamisme et la volonté de réussite.

On ne perce pas facilement la carapace de Sandrine, mais elle recèle à l'intérieur un vrai trésor de bonté.

Sandrine est une femme rayonnante à qui les changements réussissent à merveille.

Avis aux tricheurs: vous vous casserez les dents à essayer de la tromper.

Généreuse et patiente, Sandrine est fascinée par le combat et ne baissent jamais les bras.

Au moment où commence avril, l'esprit doit se montrer subtil.
Quand avril tombe l'eau, vigneron répare le fond de ton tonneau.
Tonnerre en avril, défoncez vos barils.

CRUMBLE MINUTE AUX POIRES

Préchauffez le four à 180°. Pelez les poires, épépinez-les, coupez-les en petits dés. Etalez-les dans un plat creux supportant la chaleur. Mélangez-les avec le sucre vanillé et 40grs de poudre de noisettes. Ecrasez les palets et mélangez-les du bout des doigts avec le beurre en parcelles, 20grs de poudre de noisettes et le sucre en poudre. Versez la préparation en couche épaisse sur les poires. Enfournez, laissez cuire 5 à 7 minutes. Servez tiède.

Une femme va voir son psychologue et au cours de la consultation, elle finit par lui dire que son mari ne lui a rien dit depuis des années. Le médecin, bien décidé à résoudre leurs problèmes de couple, décide qu'il faudrait qu'ils reviennent tous les deux.
Viens le jour de la consultation. Le psychologue se tourne vers le mari et lui dit :
- Monsieur, votre femme me dit que vous ne lui parlez pas. Pourquoi ?
- Et bien, voyez-vous, je suis trop poli pour l'interrompre. 

UN NOM PAS SÉRIEUX!
Un s’agit d’un homme qui a donne un nom péjoratif à son chien de compagnie. Son nom est Raymond DEVOS et suivez bien ce qu’il dit… :
« Pour donner un nom hors du commun à mon chien, je l’ai nommé « Bézé ». Ce fut une erreur, mais je ne l’ai remarqué que plus tard :
1- Lorsqu’après mon déménagement je me suis rendu à la municipalité pour le faire enregistrer, je dis au percepteur que je venais payer la taxe pour Bézé. Il me répondit qu’il n’y avait pas encore de taxe pour cela. « Mais il s’agit d’un chien » lui dis-je ; il me répliqua que les relations sexuelles avec les animaux sont interdites par la loi, mais malgré cela, il n’y avait pas de taxe à payer. « Vous ne comprenez pas », lui dis-je, « j’ai Bézé depuis que j’ai neuf ans »… Il me jeta dehors.
2- Pendant notre voyage de noces, le chien nous avait accompagnés. Comme je ne voulais pas qu’il nous dérange, je demandai à la réception de l’hôtel une chambre supplémentaire pour Bézé. La dame de service me répondit que toutes les chambres de l’hôtel étaient à cet effet. « Vous ne comprenez pas », lui dis-je, « Bézé m’empêche de dormir toute la nuit ». Mais elle me répondit qu’elle aussi, ça l’empêchait de dormir.
3- Une fois, je me rendis à un concours de beauté pour chiens, je voulais y présenter Bézé. Un gars à l’entrée me demanda la raison de ma présence au concours. Je lui répondis que j’étais ici pour Bézé. Il me suggéra de faire imprimer mes cartes d’entrées privées et de les vendre. Lorsque je lui de mandai si le concours était télévisé, il me traita de pervers.
4- Un jour, Bézé tomba malade et je dus le conduire chez le vétérinaire. Le lendemain, j’allai le reprendre. « Quel est son nom ? », me demanda le vétérinaire, « Milou, Médor…ou Paf ? » et je répondis : « Que diriez-vous de Bézé ? » ; en guise de cela, je reçu une claque.
5- Le même jour, Bézé s’échappa et je le cherchai partout. Je me rendis au refuge pour animaux pour le chercher. « Que voulez-vous ? » me demanda le gardien, « Bézé » lui répondis-je. Il était d’avis que ce n’était pas le bon endroit pour baiser.
6- Je cherchai toute la nuit. Vers 4 heures, un agent de police me demanda ce que je voulais en pleine nuit dans ce quartier chic, lorsque je lui répondis que je voulais seulement Bézé et rien d’autre, il m’embarqua.
7- Lors du divorce, ma femme et moi devions-nous présenter devant le juge pour le partage des biens. Naturellement, je voulais à tout prix garder mon chien, je ne voulais pas lui laisser :
- « Votre Honneur, j’avais déjà Bézé avant le mariage »
- Et il répondit simplement : « Et alors ? moi aussi ! ».