bonjour à tous
c'est la fête des
Médard se fie à son intuition et fait confiance à la droiture d'autrui.
Difficile de résister au charme de Médard , sa force de conviction est plein de bon sens.
Personnalité complexe, beaucoup de dynamisme, Médard sait où il s'en va.
Médard est un être simple, pas trop compliqué et facile à vivre.
D'une sensualité ardente et un coeur généreux, Médard est tendre et aimant.
S'il pleut à la Saint-Médard, la récolte est au quart.
S'il pleut à la Saint-Médard, le tiers des biens est au hasard.
Saint-Médard éclairci, fait le grenier farci.
S'il pleut le jour de la Saint-Médard, si t'as pas de vin, tu auras du lard.
S'il pleut à la Saint-Médard, il pleut quarante jours plus tard,
À moins que Saint-Barnabé, ne vienne l'arrêter.
POIRES EPICEES EN ROBE DE CARAMEL
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- 18 petites poires pas trop mûres
- 2 clous de girofle
- 1 gousse de vanille
- 1 bâtonnet de cannelle
- 5 grains de poivre blanc écrasés au rouleau
- 500 g de sucre en poudre
- 500 g de sucre en morceaux
- le jus d'un citron.
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Faites bouillir 1 litre d'eau avec le sucre en poudre, la gousse de vanille, la cannelle, les clous de girofle et le poivre pendant 5 minutes.
Epluchez les poires. Arrosez-les de jus de citron. Plongez-les dans le sirop, baissez le feu, couvrez, puis laissez-les pocher à frémissements jusqu'à ce qu'elles soient translucides mais encore fermes.
Laissez-les refroidir dans le sirop. Egouttez les poires dans un grand plat.
Préparez un caramel ambré avec le sucre en morceaux et 10cl d'eau froide.
Versez-le sur les poires et continuez à les arroser pour les caraméliser complètement. A déguster encore chaud!
Epreuve de français
Des gendarmes passent l’épreuve de français pour devenir brigadier.
Un adjudant-chef leur énonce lentement le texte de la dictée :
- Les poules… étaient sorties du poulailler… dès qu’on avait ouvert la porte…
Et pratiquement tous les gendarmes ont écrit :
« Les poules étaient sorties du poulailler. Des cons avaient ouvert la porte. »
Le bébé
Marie-Berthe, grâce aux progrès de la science, vient d’avoir un enfant à l’âge de 75 ans.
Ses voisines, Odette et Suzanne, viennent lui rendre visite et voir le gamin.
- Vous le verrez plus tard !.. Pour le moment ce n’est pas possible. Je vais vous faire du café en attendant.
L’ après-midi avance et les voisines lui redemandent de voir le bébé.
- Non, non, c’est toujours pas possible.
Alors Odette demande :
- Mais… pourquoi ce n’est pas possible ?
- J’attends qu’il pleure, j’me rappelle plus où je l’ai mis…!!!!
Bonsoir ,j'adore tout ce qui
est sucré,j'aime
le caramel faite par moi .
Parait- il qu'il va
pleuvoir chez nous demain.
Bonne nuit
Bisou